Tous les articles taggés : #nourritures

YVETTE

TON PETIT DEJ ? DES CEREALES SPECIAL K LE PLAT DE TON ENFANCE ? LE GOUNDJA, c’est un plat centrafricain, à base de feuilles de manioc, de viande ou de poisson, de pâte d’arachide, un plat assez pimenté. TON PRODUIT INDISPENSABLE ? L’AIL LE PLAT QUE TU AIMES CUISINER ? UN BON POULET AU FOUR TON RESTO PREFERE ? LE MUSTAFA KEBAB, A BERLIN Merci Yvette.

Xavier dans sa cuisine

Xavier

Les hommes seraient-ils plus timides que les femmes pour révéler leurs penchants gustatifs ? De prime abord, le sujet semble plutôt féminin. Autour de moi, ils sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à la question d’une alimentation « en conscience ». François, sportif de haut niveau, limite sa consommation de viande à une à deux fois par semaine, préférant le reste du temps les céréales et les légumineuses. Hugo, en période d’examens, veille à consommer davantage de légumes et de fruits frais. Quant à Xavier, c’est grâce à ses rencontres et à ses réflexions, qu’il a fait le choix d’une vie végétarienne, en toute décontraction et dans une grande souplesse.

Une recette de street food sicilienne

De l’indécence d’une boulette de riz (Arancino)

Lorsque je voyage, je ne demande que ça, être chamboulée, chamboulée par les bruits, les odeurs, les couleurs, la chaleur et ce que j’aime par dessus tout c’est faire exploser mes papilles. L’Inde, j’ai adoré pour ça, à l’aéroport tu prends un taxi et là tu te vois doublé par un éléphant incroyablement maquillé de couleurs flamboyantes, ou encore ces bougainvilliers qui dans le chaos de la ville ponctuent allègrement le décor et surtout, il y a la nourriture dans la rue. Odeurs de cardamome, de cannelle, de feuilles de bananier, on croise des marchands ambulants à tous les coins de rue, proposant des samosas, des pakoras, des omelettes, du maïs grillé, avec les pires et les meilleurs surprises.

Clarisse

Une vieille histoire entre Clarisse et moi. Une mission dans une agence de pub de quelques jours, qui a durée quelques mois, et la rencontre de Clarisse. Une fille décontractée, à la joie de vivre innée qui a grandit non loin de Paris mais suffisamment pour se sentir « une fille de la campagne ». Son enfance est rythmée par les balades dans la nature, la cueillette de fruits ou encore la préparation, entre sœurs, de plats simples pourvu que ce soit « maison ». Chez Clarisse se dégage un joyeux mix’n’match de green attitude, de textiles en wax, d’objets chinés le tout sans hiérarchie. Et pour elle, consommer responsable c’est comme apprendre à dire « merci », une base dans la vie qu’elle transmettra naturellement à son petit garçon.  

Alison, assise, dans son salon

Alison

On me demande souvent si je suis végétarienne parce que, par exemple, au resto je ne choisis jamais de viande. Je réponds alors que « non je ne suis pas végétarienne en l’occurrence parce que je mange du poisson » et que si je mange de la viande je veux savoir un minimum d’où elle vient. Chez les amis ou la famille, c’est toujours un peu délicat de demander la traçabilité de ce gigot d’agneau cuit au four à basse température pendant des heures, qui a été arrosé régulièrement pour ne pas sécher et parsemé de fleur de sel et de thym. Si je respecte la condition des animaux, j’aime aussi faire plaisir et partager. Opportuniste ? non flexitarienne, c’est un peu barbare comme terme mais puisqu’il faut rentrer dans une case… Et avec les enfants, comment faut-il s’y prendre ? Comment conjuguer plaisir et bien fait pour la santé ? Ne pas les priver pour ne pas générer de la frustration et en même temps, ne pas tout leur autoriser parce que nourrir c’est aimer et …

collage photo autour de la nourriture

Scones

Le petit déjeuner est un moment crucial pour moi que j’apprécie en solitaire. Plutôt du genre monomaniaque, je ne varie jamais en semaine et la journée peut s’annoncer très mauvaise si elle ne commence pas par un jus de citron suivi d’une banane coupée en rondelles avec un mix de graines, des dattes et du chocolat noir.

Marie et Mathieu

Marie pourrait tenir un restaurant étoilé, si elle n’avait pas d’autres passions qui l’animait dans la vie, tant elle est érudite sur le sujet. Le matin, quand on se retrouve au café, on parle de beaucoup de choses, futiles et parfois très graves et on parle aussi de bouffe, de bonne bouffe, de plats mijotés, de cuisine thaï, de poulpe. Aux côtés de Marie, il y a Mathieu. Tous deux partagent le quotidien, le travail et le plaisir de la table.