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MELINA

TON PETIT DEJ ? Une tartine avec de la confiture maison à la figue, kaki ou grenade, des fruits que je cultive dans mon jardin. LE PLAT DE TON ENFANCE ? Ma mère préparait ce plat pour la famille nombreuse que nous étions, elle superposait des sardines et des feuilles de laitue, elle les arrosait d’huile d’olive, du sel, du poivre, ça mijotait quelques minutes, un délice ! Les cannoli aussi, une pâtisserie typique de la Sicile. La croûte est faite avec farine, œuf, huile et vin rouge, à l’intérieur, c’est une crème ricotta, zestes de citron, sucre, saupoudré de sucre glace. TON PRODUIT INDISPENSABLE ? La farine, pour faire mon pain et ma pâte à pizza. LE PLAT QUE TU AIMES CUISINER ? Les lasagnes maison mais toujours en deux versions : poisson / épinard / ricotta et bœuf / sauce tomate / petits pois. TON RESTO PREFERE ? Un resto de poisson, au bord de la mer, en Sicile. Merci Melina. Interview et photo©nourritures-lejournal.com

CEDRIC

  TON PETIT DEJ ? Le café, c’est obligatoire. Avec du salé, des œufs, du bacon, une salade et un jus. LE PLAT DE TON ENFANCE ? Purée jambon. TON PRODUIT INDISPENSABLE ? L’huile d’olive. LE PLAT QUE TU AIMES CUISINER ? J’aime pas cuisiner mais je le fais quand même ! Les champignons, c’est mon truc. Les salades, aussi. TON RESTO PREFERE ? A CEVICHERIA, à Lisbonne. @a_cevicheria_chefkiko Merci Cedric. Interview et photo©nourritures-lejournal.com

MARIE ROSE

  TON PETIT DEJ ? Un jus d’orange bio ou à la pomme trouble, un fruit et des tartines au beurre. LE PLAT DE TON ENFANCE ? LE COCOW, des feuilles de manioc coupées finement avec de la viande de bœuf, de la pâte d’arachide, de la semoule ou du chikwangue (pain de manioc). TON PRODUIT INDISPENSABLE ? LE KUBOR ET LES ECHALOTES. LE PLAT QUE TU AIMES CUISINER ? LA CHOUCHOUKA. TON RESTO PREFERE ? THE OLD MAN & THE SEA, A TEL AVIV, pour leur poisson pêché sur place, le houmous et les falafels.   Merci Marie Rose. photo et texte ©nourritures.lejournal

Jeanne

C’était une rentrée quasi caniculaire. On était pas très nombreux dans la classe mais la maîtresse paraissait intimidée par notre présence. Jeanne était assise sur le même banc que moi. Je l’ai tout de suite remarquée parce qu’elle portait un chemisier que je possédais dans ma garde-robe. La directrice a fait une petite intervention pour rappeler le règlement, on s’est regardé avec Jeanne, en signe de solidarité sans doute. Cette rentrée en grande section avait une valeur tout à fait particulière puisque c’était celle de nos filles respectives.